Pas de doute, savoir dire « Ku Klux Klan, Acide acétylsalicylique, inéligibilité, statisticien, phénylalanine… » au cœur d’une phrase avec un naturel déconcertant… çà c’est aussi le métier de voix-off.
Sans souffle pas de son. Certains disposent de plus de coffre que d’autres, mais bonne nouvelle : çà se travaille !
Le premier travail de la voix commence donc logiquement par des exercices respiratoires, de détente du diaphragme et de respiration ventrale.
Un bon narrateur, c’est quelqu’un qui connaît bien la langue qu’il pratique. Qui connaît les règles de conjugaison, d’orthographe, de grammaire et… qui sait quand faire une liaison ou pas.